Commémoration de la bataille de Mars la Tours (1870)


Collection Gallica BNF

Français et allemands, histoire anectotique de la guerre de 1870-71 par Dick de Lonlay, Gravelotte, Vionville, Rézonville.... Bataille de Rézonville (16 aout 1870)... : [affiche] ([Variante d
Français et allemands, histoire anectotique de la guerre de 1870-71 par Dick de Lonlay, Gravelotte, Vionville, Rézonville.... Bataille de Rézonville (16 aout 1870)... : [affiche] ([Variante d'image]) / Sgap sc.
Source: gallica.bnf.fr


Bataille de Rezonville (Gravelotte), 16 août 1870. Campagne de Metz : récit de la bataille, explication du panorama, reproduction totale du panorama développé, portraits de MM. Detaille et de Neuville / [Société du] Panorama national ; [portraits par Henri Thiriat]
Bataille de Rezonville (Gravelotte), 16 août 1870. Campagne de Metz : récit de la bataille, explication du panorama, reproduction totale du panorama développé, portraits de MM. Detaille et de Neuville / [Société du] Panorama national ; [portraits par Henri Thiriat]
Source: gallica.bnf.fr


Ce document, du début du siècle dernier, nous montre des douaniers et des militaires gardant la frontière, de la commune de Mars la Tour, dans le département de Meurthe et Moselle, Région Lorraine, pendant l’ anniversaire de la bataille du 16 aout 1870.
Cette commémoration avait lieu chaque année, avant la première guerre mondiale.

D.R
Pour Mémoire:
Cette bataille, plus connue, sous le nom de bataille de Rezonville, eut lieu le 16 aout 1870 et opposait Les 30.000 prussiens de l’armée du prince Frédéric-Charles, aux 127.000 français qui avaient engagé une retraite.
Coupant la route de Verdun, les prussiens obligent les français à se battre.
Durant les combats, du matin, une mêlée sanglante, donne, l‘avantage aux français. Mais en fin d’après-midi, les prussiens reçoivent des renforts, importants, qui renversent la situation. Leur cavalerie pénètre dans les lignes françaises, déstabilisées, qui ont un moment de panique. Les officiers français lancent à leur tour leur cavalerie, mais dans la confusion, l’infanterie tire autant sur les français que sur les prussiens. Tout ce qui est à cheval devient une cible. Malgré cette bavure, les français reprennent l’avantage et la cavalerie prussienne est très éprouvée. Elle se retire derrière les lignes allemandes avec seulement 420 cavaliers, sur 800 au début de la charge, qui restera célèbre, pour les allemands, sous le nom de: « La charge de la mort. »
Tentant une autre offensive, les prussiens sont rejetés du champ de bataille par les français qui restent maitres du terrain, jusqu’à l’ordre de retraite.
Les pertes, en tués, blessés et disparus confondus, sont de 13.761 hommes pour les français et de 15.781 hommes, pour les prussiens.
 
Sources:
Wikipédia.
Société d’histoire de Woippy.


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